Derrière les rideaux
l’ennui des pièces vides
Dans le vieux manoir
les poutres craquent
en échos débordant d’ivresse
Sur les murs, que des rides
de brique et de papier
Plus un meuble où s’asseoir
pour y bercer le soir
Seul un lit se repose
Sur lui, doucement s’immisce
le souvenir des roses
et le spectre du Lys